Reste le problème des Bahá'is, une communauté religieuse de 350 000 membres qui n'est pas reconnue par l'Etat. Si, depuis la fin des années 80, sous la pression de la communauté internationale, les emprisonnements et exécutions ont considérablement diminué (la dernière date de 1998), la pratique religieuse demeure un véritable problème, les lieux de culte leur étant interdits. Et les Bahà'is dénoncent aussi la destruction au bulldozer des tombeaux de leurs personnages historiques et la confiscation de leurs cimetières. Mais ce sont essentiellement les difficultés d'accès à l'éducation et l'hypocrisie du gouvernement qui les agacent : «Pour la dernière rentrée universitaire, le gouvernement a supprimé la mention religieuse présente sur les formulaires d'inscription au concours, explique Diane Ala'i, représentante de la communauté internationale Bahà'ie auprès des Nations unies. Nous y avons vu une grande avancée. Plusieurs centaines de Bahá'is se sont donc inscrits pour la première fois à l'Université. Sur le relevé de notes du concours, ils furent surpris de trouver la mention «musulman». Tentant de faire modifier cette dernière, on leur répondit que c'était impossible. Qu'ils devraient renoncer à leur foi ou partir.» Ce qu'ils ont fait. Ils sont partis. Tristes, une fois de plus, d'avoir été poussés de l'autre côté du mur.Vale a pena ler todo o artigo.
segunda-feira, 6 de dezembro de 2004
Le Figaro: Les infidèles d'Iran
Uma reportagem do Le Figaro do passado sábado tenta descrever o que é a vida das minorias religiosas no país do mullás. Na República Islâmica do Irão, judeus, cristãos, zoroastrianos praticam livremente a sua religião. Mas... (há sempre um "mas"!) no final do artigo lá vem a referência do costume:
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